Que nous réserve le reste de l’année?

Alors que le premier trimestre a été marqué par une progression ininterrompue des cours boursiers, le deuxième s’est comporté de manière plus semblable aux résultats historiques, le marché ayant connu une plus grande volatilité, tant à la hausse qu’à la baisse. La source de cette volatilité est venue de Washington, lorsque Donald Trump a intensifié la guerre commerciale avec la Chine.

Voici quelques points saillants qui ont retenu l’attention de l’équipe d’économistes de la Banque Nationale :

Canada

L’économie et le marché de l’emploi devraient demeurer vigoureux. La forte demande américaine, la faiblesse du huard et la levée des droits de douane sur l’aluminium et l’acier sont susceptibles de stimuler les exportations.

États-Unis

L’expansion en cours, amorcée il y a une décennie, est en voie de devenir cette année la plus longue de l’histoire américaine. Toutefois, l’escalade de la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine pourrait compromettre les investissements des entreprises et la croissance. À court terme, les consommateurs ont le potentiel de compenser ces effets négatifs grâce à un marché du travail dynamique, qui alimente leurs revenus.

Monde

Les tarifs douaniers entre les deux premières économies de la planète risquent de freiner les échanges internationaux. S’ils persistent ou augmentent, cela pourrait plomber les perspectives de croissance mondiale d’ici la fin de 2019.

Dans ce contexte, les marchés restent sujets à la volatilité. S’il est difficile d’anticiper leurs humeurs, il est possible d’en atténuer l’impact en tirant parti de la diversification et de la répartition de l’actif optimale dans votre portefeuille.

J’espère que vous avez apprécié mon infolettre. N’hésitez pas à me contacter si vous aimeriez qu’on en parle ensemble.

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